La mort est une copine qui aide à l’occasion,
Quand à coups de machette on termine un enfant
Quand le sang éclabousse
Dans de folles visions
De tueries sauvages pour d’horribles raisons
Haine, jalousie, lucre, plaisir du sang
Qui jaillit, qui étouffe, qui recule d’autant
La fierté de ce monde, la joie d’être vivant.
Alors, dans ce désastre,
Choisir sa corde,
Quitter l’épouvantable horde,
Et dans un geste fou,
Et grandiose pourtant,
Partir avec la mort, irrémédiablement.

1er avril 2014

Catégories : Poésie

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