Les hommes mariés ne font pas les nuits douces

Un coup de foudre, et commence la plus vieille histoire du monde. Entre Alicia et Joris, c’est d’emblée l’amour fou, absolu, évident. Mais Joris est marié… Se noue alors une relation difficile mais passionnante, faite d’avances timides et de ruades d’impatience, ponctuée de mensonges inévitables. Mais faut-il consentir à al dissimulation ? Ce roman aux scansions poétiques et aux dialogues incisifs, met à nu les joies et les blessures de l’amour adultère avec un talent d’orfèvre…

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Description

Un coup de foudre, et commence la plus vieille histoire du monde. Entre Alicia et Joris, c’est d’emblée l’amour fou, absolu, évident. Mais Joris est marié… Se noue alors une relation difficile mais passionnante, faite d’avancées timides et de ruades d’impatience, ponctuée de mensonges inévitables. Mais faut-il consentir à la dissimulation ?
Ce roman, aux scansions poétiques et aux dialogues incisifs, met à nu les joies et les blessures de l’amour adultère avec un talent d’orfèvre.

Avis de Sefarad

Ce livre bien écrit, avec un excellent rythme, nous transporte dans les affres d’une relation adultère entre un homme marié et sa maitresse.
Celle-ci nous tient en haleine de page en page à travers le récit de ses joies et de ses souffrances à attendre que son bien aimé se décide de parler à sa femme.
Livre que toutes les femmes devraient lire et relire avant d’entamer une pareille relation…
L’auteur décrit quasiment tous les cas de figures concernant l’homme fou amoureux qui prétend d’emblée, qu’il n y a plus rien depuis très longtemps entre sa femme et lui ,et qu’ il attend le moment propice « imminent » de révéler la vérité à son épouse afin de construire une vie fabuleuse avec sa nouvelle chérie.
Yaël König avec sa belle plume grinçante de vérité, nous offre un manuel, non pas de survie, mais un abécédaire. Tout y est dit pour faire tomber le masque de « l’homme marié et lâche ».
Un scenario classique où tant de femmes se sont fait prendre et qui laisse des cicatrices.
Apres avoir lu ce premier ouvrage de Yaël König « Les hommes mariés ne font pas des nuits douces » paru en 2009, j’avais hâte d’en lire un autre.
Source : http://www.sefarad.org/milantia/livres-disques.php/id/18/

Avis de Impudique Magazine

La quatrième de couverture ressemble tellement à de la lèche qu’on se demanderait presque s’il n’y a pas anguille sous roche entre Yaël et lui. Je serai moins dithyrambique que l’éditeur, bien sûr, mais je dois bien reconnaître que ce livre est très bien fichu.
Les hommes mariés ne font pas les nuits douces est le récit d’un adultère, je l’ai déjà dit et je le répète, dès fois qu’une lectrice penserait y trouver une histoire à l’eau de rose où les « héros » finissent toujours par vivre ensemble et avoir beaucoup d’enfants. Haha. L’heure des contes est terminée ! Enfin presque. Pour ces schémas, il suffit de lire, par exemple, un Marc Levy. C’est mieux qu’un Musso. Si, si.
Mais parlons de ce roman, Les hommes mariés ne font pas les nuits douces.
Yaël König réussit à raconter la passion amoureuse qui unit Alicia à Joris de telle façon qu’elle en devient énervante, voire nauséeuse. La passion amoureuse, pas Yaël König. Plusieurs fois, j’ai eu envie d’attraper Alicia, de la secouer en la poussant sous une douche froide et de lui crier « Hé ma belle, réveille-toi ! Il se fout simplement de ta gueule ! » Quant à Joris, qu’en dire ? C’est un homme qui aime les femmes, qui en rencontre une qu’il croit sincèrement aimer d’un amour capable de franchir toutes les montagnes. Sauf que Joris est très lâche. Ah, j’entends d’ici les « Comme tous les hommes ! » Hum, je serais plus nuancée car, pour être adultère, il faut être deux et il arrive aussi que la femme adultère soit mariée et n’arrive pas à quitter son époux.
Bref, Les hommes mariés ne font pas les nuits douces n’apportera aucune aide aux adultères, n’incitera pas les craintifs à se lancer dans une liaison « coupable », n’invente pas l’adultère qui existe depuis la nuit des temps, non. Mais la plume de Yaël König retrace parfaitement les états d’excitation et d’abattement successifs dans lesquels une femme amoureuse d’un amant manipulateur se retrouve. D’où ma question : le fond de ce livre ne serait-il pas la vengeance d’une femme envers un homme qui l’a trompée ? Et je ne parle pas de l’épouse de cet homme mais bien de sa maîtresse.
Source ; http://www.impudique.net/2009/09/les-hommes-maries-ne-font-pas-les-nuits-douces-de-yael-konig/

Avis de Les jardins d’Hélène

Un joli titre, une jolie couverture, une histoire éternelle qu’on espère originale, il en faut peu parfois pour choisir un livre. Le « pitch » n’est pas révolutionnaire : Alicia tombe amoureuse de Joris, découvre qu’il est marié, et ne veut pas d’un banal adultère, elle va donc rompre. Mais c’est trop tard, la guêpe est prise au piège de l’amour, et c’est le début d’une longue histoire de désespoir, celui de la « seconde », la maîtresse qu’on cache, l’éternelle backstreet.
Il y a quelque chose d’extrêmement réussi dans ce livre, c’est le récit d’Alicia dans sa souffrance et son bonheur, sa tristesse de maîtresse qu’on délaisse quand il faut rentrer voir l’officielle, bobonne et les mômes. L’espoir toujours présent de croire en l’homme : oui il quittera sa femme, mais il faut un peu de temps pour dénouer 20 ans de mariage, oui il est lâche et ne la quittera jamais, oui il se moque d’elle, non il l’aime vraiment, etc. etc.
ça va bien sur cinquante pages. Mais quand vous commencez à réaliser que ce ne sera que cela et encore cela et toujours cela pendant deux cents cinquante pages, là vous commencez sérieusement à vous dire que non, ça suffit, on n’est pas dans un traité sur l’art de gloser ou comment répéter cent cinquante fois la même chose en ne répétant jamais les mêmes mots.
J’avoue, j’ai mis le livre de côté, franchement agacée qu’on se foute de moi (ça va, je sais lire, j’ai compris, pas besoin de me répéter la même chose ad libitum, il serait temps d’avancer) et j’ai lu d’autres livres. Puis j’y suis revenue, me disant que bon, il allait bien finir par se passer quelque chose « qui change ». Mais non, toujours et encore ce refrain lancinant de l’éclate au lit et du malheur de la maîtresse laissée à ses draps froids. Des promesses non tenues de l’homme lâche. Et puis, enfin, la fin. Sans doute tellement espérée du lecteur qu’elle en devient peu crédible. Après tant de larmoiements ce serait soudain si facile, en deux coups de cuiller à pot et deux pages miracle ? Un peu de sérieux quoi !
Je suis donc bien embêtée avec ce roman, car s’il semble justement inspiré d’un quotidien réaliste, il est aussi très répétitif (comme la vie ?), mais alors, quel ennui !
Source : http://www.lesjardinsdhelene.com/article-les-hommes-maries-ne-font-pas-les-nuits-douces-yael-konig-39680851.html

Avis du journal Le progrés – Fabienne Cholat

Le récit original d’un adultère. Un roman qui explore la mécanique d’un couple, de la passion et du désir…

Avis de ecolesjuives.fr – David Assolen

Yaël König nous charme par la justesse de son propos et l’élégance avec laquelle elle écrit.

Avis de Sensuelle magazine

Ce roman aurait pu être banal. Il n’en est rien, tant les pensées et états d’âme de la narratrice se meuvent en nous, portés par une écriture qui sait dire la fragilité de l’existence…

Avis du journal Ici Paris – Stéphanie Lohr

Un roman qui explore la mécanique du couple, analysant avec beaucoup de discernement le plus vieux ressort du monde.

Avis du journal L’echo – Jacques Morlaud

Ce roman aux dialogues incisifs,met à nu les joies et les blessures de l’amour adultère.L’auteur passe des sentiments aux fil du rasoir.

Avis de evene.fr – Hugo

C’est un récit lancinant, une vertigineuse mise en abîme d’un thème répété à l’envi, de l’émerveillement à la nausée, avec une langue cristalline. C’est du cristal et de l’encre noire. Ce n’est pas un roman. Peut-être un « récit » ou un essai littéraire pour décortiquer une situation, la plus vieille du monde : l’homme adultère promettant éternellement à son amante qu’il va quitter sa femme, jusqu’à l’absurde, jusqu’à l’inévitable dénouement. Ce récit en spirale nous prend, nous bluffe, nous fait rire et pleurer, nous donne la rage et le désir, et le lecteur retombe – comme Alicia, l’émouvante héroïne –, ému, inquiet, pantelant… C’est une oeuvre originale et prenante qui vous emporte comme un poème-fleuve, de l’amour le plus fort au désespoir le plus indicible. En ce sens, c’est un texte sans âge, telle une tragi-comédie antique, qui s’est répétée et se répétera encore. Le tempo est bon, les dialogues aussi, le tout se lit facilement et devrait pouvoir séduire le public féminin.

Avis de rendezvousdauteurs.over-blog.com

Ce roman, aux scansions poétiques et aux dialogues incisifs, met à nu les joies et les blessures de l’amour adultère avec un talent d’orfèvre.

Avis de livres-de-chevet.com – Sylvie Corsi

Le récit sait se faire sensuel, l’écriture est magnifiée…

Avis de cdcoeurs.over-blog.net

L’écriture est soignée, minutieuse, habillée d’envolées lyriques et poétiques.

Avis de Notes Bibliographiques

L’originalité du récit réside dans le style de l’auteur qui emploie, pour exprimer la passion de son héroïne, un vocabulaire original, avec des mots et des tournures de phrases qui ne s’appliquent pas, en général à un pareil sujet.

Avis de Mieux pour moi

Interview La grande radio

Interview Les coups de cœur de Géraldine

Les hommes mariés ne font pas les nuits douces est son sixième roman. Et à ce sujet, Yaël König a accepté de répondre à quelques questions que voici :
http://cdcoeurs.over-blog.net/article-yael-konig-interview-exclusive-37771024.html

 

Informations complémentaires

Format

200 mm x 130 mm

ISBN

978- 2-91 6209-67-8

Pages

240

Éditeur

Éditions Yago – Paru en 2009
Éditions Yago – Réédition en 2018